Chasseur

Dans la forêt de Ansen, sur les sentiers escarpés et tordus connus des animaux seuls ou presque... les deux chasseurs marchaient sur la terre battue. Ils étaient tout près du pied de Blue mountain, la grande chaine montagneuse de Chronos. Les animaux riaient dans les fourrés de leurs petits bruits, tel était la musique de la forêt. Les deux hommes ou plutôt, l'homme et le garçon étaient vêtue de tunique brune et verte simple. Un arc en main et un carquois en bandouillère, ils étaient tous deux sur leurs gardes. Leur proie étrange pouvait à tous moment leur sauter dessus. Le plus vieux fit un signe de la main au plus jeune. Le plus jeune s'avancant dans le sentier, seul alors que le plus vieux disparaissait derrière les arbres. Warrel connaissait cette tactic de son père. Il en conaissait les risques aussi... Il avanca. La main à la garde de l'épée qui battait son flanc. L'arc lui serait inutile si la proie se jetait sur lui. Des froussements de broussaille attirèrent l'attention du jeune garçon de 12 ans. Il se tourna juste à temps pour faire face à un insecte géant qui lui sauta dessus. Il décocha la flèche qu'il avait préparé et qui alla se ficher dans le ventre de son adversaire mais n'arriva pas à percé la carapace naturel de l'insectoîde. Quadrupède à quatre bras, le démon lui fit perdre l'équilibre et tenta de lui enlever la vie en même temps que ses entrailles grâce à ses multiples bras armé chacun d'une serre. L'oeil du monstre était terribles, rouge et crachant les éclairs. Elle était traqué depuis quelque jours et n'avait pu se nourrir correctement. Elle était desespéré. Warrel savait analyser maintenant l'humeur de cette bête aux sifflements horribles des mandipules poilues qui décoraient son ignoble faciès.

Warrel avait dégainer sa lame avant de se faire renverser et bloquait plus ou moin les serres qui tentaient de lui faire quitter ce monde dans des souffrances peu imagineable...Il savait que ces créatures aimaient dévorer lentement des proies qui respiraient encore... Sa lame ne blessait pas vraiment la bête. Elle n'arrivait pas à traverser la couche dure qui entourait presque la totalité du scarabé géant. Alors que les mandipules allaient lui arracher le nez tellement sa tête s'aprochait, une flèche alla se planta dans l'oeil unique de la bête. La pointe lui toucha le cervelet et dans la manque d'information envoyée aux membres du monstre, Warrel renversa la bête sur le coté et roula en sécurité, loin de la créature.

Elle fut prise de convulsion et ses serres griffèrents l'air au dessus d'elle frénétiquement. Après un certain temps, elle tomba morte et se raidit soudain. Le père de Warrel alla jusqu'à la bête et lui coupa la gorge pendant que celui-ci se remettait de ses émotions. Le premier regarda le deuxième avec un sourire et lui addressa la parole d'un ton de reproche :

-Je t'avais dis que ce n'était pas la même chose que d'être l'appât. Pourquoi a tu insister d'ailleur ?

-Je..je voulais juste savoir l'effet que ca avait... que de faire leur faire face...

-Warrel. Tu sais très bien que faire face est l'arme des braves et en général des héros. Mais les héros ont souvent la fâcheuse manie de mourrir jeune... Laisse moi prendre le risque la prochaine fois d'accord ? Je m'en voudrais si il t'arrivait malheur.

-Oui bien sûre père...

Le jeune regarda un peu ses pieds. Il était un peu décù de ne pas avoir été capable de mettre la bête hors d'état de nuire à lui seul. Son père le regarda et sourit en lui tapant l'épaule.

-Néanmoin, c'était du bon travaille. Tu t'es bien débrouillé et sans égratignure cette fois.

Il le taquinait. Et warrel sourit un peu. Les deux chasseurs de Skarks se mirent en route après avoir charger le monstre sur leurs épaules. Ils le portèrent jusqu'à la frontière qui délimitait blue mountain et Ansen forest. La au loin, on pouvait voir beaucoup d'effigé du même monstre planter ici et la qui délimitait un certaine ligne. Warrel déposa la créature et regarda son père à l'oeuvre.

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Son père s'appelait Thomas. Thomas Deviro. Mais les gens du coin l'appelait grand Tom. C'était un mercenaire vétéran qui porte plusieurs cicatrice, témoin de sa vie bien rempli. Il avait pris sa retraite jeune et avait changé de métier. Garder des caravannes douteuses contres les bandits pour de l'argent n'avait pas été la vie qu'il aspirait. Il s'était remodeler en Ranger. Une sorte de robin des bois, aidant ceux qui se trouvait sur son chemin en échange de simple compliment. Il avait toujours voulu une vie héroique de se genre et peu de gens ignoraient son existence à chronos. Il habitait une petite maison au milieu du bois où il s'écoulait des jours heureux. Il avait eu le temps par après de perfectionner son art du combat et de développer celui de la chasse, d'où il tirait sa subsistance. C'était une ville tranquille... enfin, jusqu'à ce qu'il trouve un enfant abandonner près d'une rivière. Le jeune de 3 ans se mourrait de faim et il fut chanceux que ce soit un humain et pas un loup qu'il l'ai trouvé en premier. L'homme, faute d'avoir trouver les parents du jeunot, l'avait élever comme son fils. Le jeune ange avait vite développer les capacités de son père, au combat et à l'arc.

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Le père planta un grand bâton pointu des deux cotés dans le sol. Il s'assura que celui-ci ne tomberait pas avant de prendre la carcasse du Skarks. Warrel l'aida et les deux issèrents la créature au dessus du pic et l'empala. Le sang noire du démon coula doucement le long du bois pollis. Le père de Warrel pris alors sa dague et coupa les serres de la créatures avant de les attachés en ligne le long d'un fils de fer mou. Il accrocha par la suite, le collier morbide autour du coup du démon mort et Warrel mit le feu à la créature. qui brula aisément, à cause de tous le sang. Le sang des démons en général était très combustible... Thomas s'assura une dernière fois pour être sûre que la forêt de risquerais rien avant de donner une tape sur le dos de son fils. Une belle journée de travaille... Warrel demanda alors.

-Tu crois que ca va les empêcher de venir ?

-Je ne crois pas non. Mais ca va grandement les décourager.

-J'aimerais qu'il nous laisse en paix...

Thomas regarda son fils quelques instants avant de lui sourir.

-Aller viens... Je commence à avoir faim.

En réponse, le ventre du jeune gronda de colère. Il jeune rougit et les deux chasseurs se remirent en route, cette fois pour la maison.


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Pendant leur marche, Grand tom s'inquietait. C'était la première fois qu'un Skarks s'aventurait aussi loin dans la forêt. Aussi près de Chronos... Cela faisait des annés qu'il combattait cette race étrange de démon insecte qui était plus que probablement nichée dans les tréfonds de la montagne bleu. Le père laissa échapper un soupir. Lui aussi, aimerait que ses démons restent dans leurs terriers et cesse d'emmerder les humains. En général, les skarks se nourrissent QUE d'humain. Il s'aventure près de chronos et s'attaque au commune éloigné et au ferme isolé. Les gens meurent en toute discrétions sans jamais laisser de trace alors que les créatures se goinffrent. Il arrivait depuis peu à décourager beaucoup de skarks de s'aventurer dans les terres. Sans l'avoir dit à son fils, il comprenait le language de ses démons. Il sourit en souvenir du titre que l'un d'eux lui avait octroyé avant de mourir : l'ombre des forêts. Il en avait tirer une certaine fierté. Les skarks semblaient voir en lui une sorte de guardien surhumain. D'où lui venait cette faculté de parler au démon et de les comprendre ? Son père était un mage très louche... où plutôt, une sorte de nécromancien. Il avait fait un trait sur lui lors de sa vie, car traiter avec les démons ne l'avait jamais enchanté. Mais il était rester avec le language en tête, pour une raison étrange. Souvent pour s'amuser, lorsqu'il intercepte une patrouille de Skarks dans la forêt, il se cache, prend une voix terrifiante pour eux et leurs dis : L'ombre des forêts guette. Il ne se lasse pas de la panique que les plus peureux ont en entendant cette annoncement. Malgré leur force brutale et leur carapace difficile à percé, les skarks n'en reste néanmoins couard.

Alors que le père réminiscait sur ce qui se passait, Warrel quant à lui, s'amusait. Alors qu'il marchait, il faisait battre doucement ses ailes qui le portait un peu dans les airs avant de se laisser retomber. Il n'arrivait pas encore tout à fait à voler mais il planait très bien. Ils arrivèrent en vue d'une petite maison à l'horizon. Une simple cabane en bois. Une reserve était placé près de la cabane. Le père sourit. Enfin à la maison. Le fils aussi était content. Tous deux étaient affamés. La journée avait été longue...